On parle souvent de l'île de Montréal comme un territoire non cédé (si on veut lire du débât, voir l'article de Radio-Canada vs l'article de la société st-jean baptiste). Mais du point de vue des animaux, quand est-il ?

Quelle était la population animale avant l'arrivée de l'espèce humaine sur l'île?
Pourquoi les humains prennent le contrôle d'un territoire et empêchent toutes les grandes espèces animales ou "nuisible selon ces propres critères" de vivre sur ce territoire. Par exemple, tout ours/orignal/loup qui pourrait s'aventurer sur l'île sera relocalisé assez rapidement pour sa sécurité (collision avec les voitures) et la sécurité des humains et animaux de compagnie. La cohabitation du coyote est très difficile dans le nord de Montréal mais le fait que le coyote à la taille d'un chien aide en sa faveur.
Quel est l'impact du colonialisme (l'établissement de maison, ferme, usine, introduction d'espèce non indigène pour leur exploitation ou pour leur compagnie), de la construction de route humaine qui coupe tout déplacement sécuritaire des animaux sur ce territoire?
Où est-ce que les humains pourraient vivre ?
Comment les humains pourraient vivre sur un territoire équitablement partagé avec les autres espèces animales et assurer la sécurité de chacun ?

J'ai assez d'imagination pour me créer une prison, mais pas assez pour en sortir.

J'ai lu beaucoup de livres et de textes sur la découverte de soi (comment se connaître, recherche intérieure), mais peu de texte sur comment expliquer ce que l'on a découvert aux autres. Il est étrange que l'on subisse les mêmes remises en question à chaque fois qu'on a décidé quelques choses qui est contraire à leurs propres choix. Est-ce que c'est de la méfiance, de l'homogénéisation, du conformisme, du tribalisme ?

Combien de fois dois-je expliquer que je n'aime pas quelques choses... que je préfère X que Y, que je ne tolère pas Z, que j'aimerais faire ceci dans telles conditions. Combien de fois est-ce qu'on doit justifier mon refus d'essayer quelques choses ?

Je le subis dans tous les groupes peu importe la situation, je suppose que je le fais aussi aux autres sans m'en apercevoir.

Il y a les gens qui m'ignorent.
Les gens qui me parlent sans demander mon avis.
Les gens qui sont désagréables.
Les gens qui me bannissent ou me traitent de diable pour avoir poser des questions.
Les gens qui m'évitent comme la peste.
Les gens qui continuent de me parler même si tu n'aimes pas ce qu'il font.
Les gens qui me sourient mais ne me parlent pas.
Les gens qui ne font que "liker" mes publications sans laisser de commentaires.
Les gens qui me parlent pas assez souvent.
Les gens avec qui tu es bien peut importe le moment.
Il y vraiment beaucoup de gens.

Aujourd'hui

Ne va pas à un rendez-vous parce qu'il annonce un orage "violent". Ciel bleu et aucune pluie durant le rendez-vous.
Sort 10 minutes sur mon balcon, commence à pleuvoir.
Sortie de jogging : aucune pluie
Arrive à mon balcon après le jogging, commence à pleuvoir.

Les vendeurs parlent une langue étrangère que je ne connais pas.

Un sac blanc autour des rues du blocs de maisons. Beaucoup de cartons cette semaine et les déchets habituels (plastiques, cigarette, fastfood ...).

Corvée de nettoyage du parc laurier (sud-centre). Ramassé 1,40$ en change (4 pièces de monnaie), un crayon et un piquet de tente, plus les mégots, capsules de bière, vitre et plastiques habituels.

Ramassé aussi sur le chemin en revenant, juste fait 3 portions de trottoir.