- new technology is faster at solving problem that you don't have
- you can't have it now, but you can see demo
- it will be obsolete as fast that it arrive
- it will take more time to learn it than to use it
- no it doesn't work in this context
Rules of new technology
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Par yansanmo@progysm.comSection: Consommation
Inondation mercantile
Après une semaine à être inondé d'annonces de As-tu-ça-toi Montréal et des voisins (facebook quartier), je peut encore une fois confirmer que je ne possède pas ce que les gens veulent et que je ne veux pas ce que les gens donnent.
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Par yansanmo@progysm.comSection: Consommation
Profilage
En référence à l'article: How compagnies learn your secrets.
D'un côté, j'aimerais énoncé le fait que les cartes de fidélité/cartes internes proposées par les magasins sont d'excellent moyen de nous numéroter et de nous identifier. Certains magasins demandent le numéro de téléphone ou le code postal. Pour ceux de Mont-Laurier, le code postal peut désigner dans certains cas 4 ou 5 maisons dans une rue. Pour les gens dans les municipalités environnantes, c'est beaucoup plus vague. Près de 3000 habitants avec le même code postal à Ferme-Neuve par exemple. Je ne sais pas non plus s'il est légal d'enregistrer et conserver le numéro de la carte Interac ou carte de crédit pour nous tracer. Le problème avec les cartes de fidélité est qu'elles laissent entendre qu'elles ne servent qu'à donner des cadeaux gratuits ou des rabais. Or, amasser des coupons-rabais ou encore donner de la fausse argent (argent canadian tire) pourrait exactement faire la même chose. De plus ces méthodes possèdent aussi l'incitatif de revenir dans le même magasin. Il y a donc un avantage supplémentaire pour le commerçant d'utiliser ces cartes de fidélisation. Si on veut rester "invisible", payer comptant reste donc la meilleure façon à tout point de vue s'il ne donne pas son nom, numéro de téléphone ou code postal.
D'un autre côté, est-ce vraiment une mauvaise chose que le marchant connaisse notre situation. Je vais à la même épicerie depuis 4 ans et ils n'ont pas encore réussi à comprendre mon profil de consommateur et ne me propose pas ce que je veux et enlève ce que j'aime. Donc, s'il utilise ses données récoltées pour personnaliser son offre, ils ont échoué dans mon cas depuis 4 ans où ils veulent que je change de magasins. Peut-être qu'il se fit trop à un autre type de clients, type sur-représenté par les statistiques des cartes de fidélité et diminue ainsi leur offre pour le reste de sa clientèle. Peut-être que le marchant local ne l'utilise simplement pas.
Je l'accorde, je ne suis pas un consommateur type. Les marchants ne font pas beaucoup de profits avec moi. Je suis un consommateur qui achète peu, mais qui achète à plein prix (sans rabais) lorsqu'il a besoin de quelques choses. Or si je regarde mon entourage, ils sont parfois très déçu eux aussi de leur expérience de consommation parce que les produits ne correspondent pas à leur besoin. Peu fiable, trop compliqué, instruction mal traduite, étiquettes de prix par dessus les instructions, trop d'emballage, qualité douteuse, service de ventes seulement et pas de conseils d'utilisation, pollution car les matières sont non recyclables, etc. J'espère que les algorithmes de profilage de client pourront être beaucoup plus développés dans l'avenir car présentement, je trouve qu'on est très mal servi.
Bon, présentement je recherche deux oreillers, un sac de karaté, une plaque à biscuit et un saupoudreur à farine. Quand est-ce que je vais recevoir des publicités sur ces articles et pas des spams de TONER, car après tout, je n'ai pas d'imprimante. Tient, un spam d'une compagnie en Nouvelle-Zélande veut m'envoyer des rabais...
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Par yansanmoSection: Consommation
Nettoie-thon du 1 mai 2011 à Mont-Laurier
J'ai assisté à mon premier nettoie-thon. Le point de rendez-vous était à 10h00 au parc Toussaint-Lachapelle à Mont-Laurier. Il y avait 3 personnes que je connaissais, 1 seule qui m'a parlé, le journaliste du Courant. On a attendu pour rien un peu trop longtemps et la distribution du matériel a commencé. J'ai pris trois sacs à ordures noirs. Je n'ai pas pris les gants de cuir, parce que justement, ils sont en cuir, ni de dossard orange, parce que je me trouve assez visible comme ça avec un gros sacs noirs et un vélo... J'ai commencé avec deux ou trois personnes à nettoyer le parc et j'ai terminé seul le parc. J'ai ensuite descendu la rue du Pont jusqu'à la rue Limoges où j'ai enlevé plusieurs déchets sur la route. J'ai fait un bout de la rue Limoges et ensuite je suis parti en vélo jusqu'au premier parc à la fin de la rue Du Portage. Il y avait 2 personnes qui ramassait les déchets. Je les ai aidé un peu et j'ai ensuite été plus loin pour faire un bout plus difficile et périlleux, un fossé d'environ 1 mètre de large, rempli d'eau. J'ai bondi souvent d'un côté à l'autre et quand l'eau a été trop large, je n'ai fait que le côté de la route. J'ai ramassé un demi-sac à cet endroit et des déchets trop lourds pour être dans le sac. Les employés de la ville m'ont arrêté vers 12:30, ont ramassé les déchets et m'ont dit qu'il était le temps de dîner.
Je suis parti dîner chez nous jusqu'à 13h, le temps de faire sécher mes gants un peu et remplir ma bouteille d'eau. Je suis retourné dans le même secteur que j'avais laissé jusqu'à 15h/15h30. Il n'y avait plus personne à l'horizon, même pas les personnes d'avant-midi au loin. Les employés de la ville ont placé un panneau d'homme au travail, justement j'étais le seul homme au travail. À la fin, ils sont venus ramassez mon deuxième sacs, m'ont dit que les autres avaient terminés, dans les autres secteurs de la 309. Cependant, il restait beaucoup de déchets sur l'autre côté de la route dans mon coin... Les employés ont ramassé leur panneau et j'ai quitté pour la rue du Collège dans le secteur du Soleil-Levant (en arrière de l'aréna). J'ai travaillé seul sur ce chemin, côté sud jusqu'à l'entreprise ÉcoGestion FloraBerge. J'ai ramassé un sac assez lourd, juste sur un côté. Vers la fin, j'avais de la difficulté à déplacer mon sac. Je l'ai transporté jusqu'à la maison de ma soeur, au Soleil-Levant en le transportant sur mon vélo et en tentant de garder l'équilibre du vélo. Je n'ai même pas fait le chemin du Palais où il y en a encore plus... Il y avait beaucoup de vent, mon vélo a tombé quelques fois, mais rien de mon sac s'est envolé.
Items ramassés
- 11¢ en monnaie
- Sacs de plastique (beaucoup, de toute les tailles, couleurs, formes)
- Cartons/papiers (boîte, emballage, paquets de cigarettes, journaux, verre de fastfoods, cigarettes, ...)
- Bouteilles de bière, canettes en aluminium (liqueur, boisson énergétique)
- Plastique (contenant de fastfood, gobelets, protection des paquets de cigarette, paille, ...)
- Gobelets en styromousse
- Boulons, écrous, rubans collants, broches en ferre/aluminium, bardeaux, isolants en styromousse, corde, morceaux de caoutchouc (pneus)
- Gants (de travail et en plastique bleu)
- Un ensemble de lumières de Noël (je crois qu'il était proche d'un petit sapin...)
- 1 casquette
- 1 couvercle de poubelle
- 1 ampoule d'un lampadaire de route, près du lampadaire
- 1 chapeau (cap) de roues
- 1 ballon
En résumé: 10h30-12:30, 13h00-15h30 et 15h30-17h00. 3 sacs d'ordures, environ 700 à 800m, un coup de soleil sur les bras, des marques de framboisiers, un vélo et des gants très sales, des courtes conversations avec les employés de la ville seulement, une photo dans le journal.
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Par yansanmoSection: Consommation
Réponse au texte "Pauvre Antoine-Labelle"
En réponse au texte "Pauvre Antoine-Labelle", paru dans le Courant du 2011-03-23, voici pourquoi je n'achète pas les produits de la Fromagerie du P'tit train du Nord: mes jambes et mon nez.
À chaque semaine, je vais faire mon épicerie chez le Marché Métro Doré à Mont-Laurier. J'y achète les pommes du Québec, les concombres des fermes d'ici (ou d'origine canadienne), les tomates de Mirabel, les carottes d'une ferme du Québec, le lait d'ici. J'essaie de ne rien acheté de l'étranger même si parfois c'est très difficile avec les mauvaises indications de la part de Métro (poivrons du Canada mais avec une étiquette du Mexique). Je regrette qu'il n'y est pas une section "Québec"/"Canada" dans le magasin ou encore qu'il n'y est pas le nombre de kilomètres sur le produit. Je reviens avec mes deux sacs pleins de provisions jusqu'à mon appartement, à pied. Je n'utilise pas le pétrole qui vient de je ne sais pas d'où dans le monde. Avec mes deux sacs, je suis bon pour une semaine.
S'il y avait les produits du Cheddar de la fromagerie du P'tit train du Nord ou de Saputo Mont-Laurier, je les achèterais sûrement à chaque semaine. [Note: si ces produits se retrouvent chez Métro Mont-Laurier, merci de me le dire où, car je ne les ai jamais vu en 3 ans.] Cependant, je n'habite pas à Val-David ou St-Saveur où il y a des Métro qui vendent ces produits. Pour acheter les produit de la fromagerie locale, je devrais à chaque semaine, rallonger mon trajet de 15 à 20 minutes à pied, traverser le boulevard Albiny-Paquette et me diriger vers un des endroits qui "pue" le plus à Mont-Laurier, le restaurant PFK. L'odeur est insupportable pour moi, végétarien, et je n'ose pas m'acheter et porter un masque à gaz pour m'en approcher. L'été, je peux bien attendu utiliser mon vélo pour me rendre vers cet endroit. Cependant, le boulevard Albiny-Paquette n'est pas emménagé correctement pour faire du vélo. La 117 à Mont-Laurier est une des portions les plus dangereuses de la route verte jusqu'à St-Jean-sur-le-Lac. À Mont-Laurier, il suffirait d'enlever le pavé/sable/gazon amoché entre la route et le trottoir pour faire une piste cyclable asphalté. De plus, comme toute personne, je me fie souvent à mon entourage et je n'ai jamais entendu dire de la part de mes proches "j'achète le fromage de la fromagerie d'ici". Je ne me fie pas exclusivement à l'opinion de mes proches, mais ça n'aide pas non plus.
J'essaie de faire mes achats localement, même si c'est parfois très difficile. J'ai acheté du matériel informatique dans les commerces d'ici, cependant, je n'ai pas pu trouvé d'ordinateurs recyclés ici. De la part d'un propriétaire de commerce d'informatique de la région, j'ai su que les ordinateurs recyclés étaient envoyés à Montréal. J'ai donc fait une exception, et j'ai fait quelques acquisitions à Montréal. Peut-être que j'ai récupéré un ordinateur qui venait d'ici, qui sait. J'ai acheté mes électroménagers à Mont-Laurier mais j'ai pu constaté que les vendeurs n'avaient pas pas ce que je désirais. J'ai dû faire des compromis et acheté ce qui était disponible sur place.
Cet été, je vais essayer de trouver des bons endroits accessibles pour acheter des légumes frais des fermes, mais il faut avant tout que je trouve les commerces et la façon de m'y rendre de façon sécuritaire en vélo. J'ai entendu parlé des paniers de légumes frais ou des petits fruits, mais je ne sais pas encore s'il y a des formats pour une personne seule et qui ne sait pas cuisiner comme un chef.
Mes prochains achats seront sûrement: une chaise d'ordinateur, un vélo ou des patins à roues alignées, un Karaté-Gi et un appareil photo numérique. Je n'ai pas encore vu les entreprises qui fabriquaient localement ces biens. Pour ce qui est de l'épicerie, je serais plus que ravi si tous mes produits venaient d'ici et étaient disponibles sous le même toit.
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Par yansanmoSection: Consommation
Règle de consommation
Réflexion sur les règles de consommations 2010-10-02.
- Il faut éviter le plus possible les dépenses répétitives.
- L'acquisition d'un objet devra permettre de se débarrasser d'au moins deux autres objets.
- Il faut éviter d'acquérir un objet qui requiert des dépenses répétitives.
- Entre deux choix, il faut choisir celui qui pollue le moins (peut être réutiliser, reycler ou réparer).
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Par yansanmoSection: Consommation