La génération de mensonge par GPT-3

2023-03-29 01:27:04

J'ai essayé deux outils proposés par le site GPT-3 hier. L'outil de clavardage et l'outil de code.

Pour l'outil de code, il ne connaît pas les logiciels que j'utilise et propose des solutions qu'on peut trouvé sur internet, mais pas spécifique au problème qu'on lui demande. Il tourne autour du pot et ne comprend pas les demandes. Donc, c'est très générique et ce n'est pas très utile pour mon travail ou pour le développement personnel.

Pour l'outil de clavardage, c'est vraiment un générateur de contenu qui puise sur les sites web et invente lorsqu'elle n'est pas disponible. Il se contredit aussi entre les sessions selon la question qu'on lui pose. Je demandait des questions à propos de chansons (titre, année de parution, auteur) et il créait des listes avec des vraies informations et des fausses informations, sans distinction entre le vrai du faux. À force de lui indiquer que les informations étaient fausses, il ne répondait plus.

J'ai aussi essayé un autre générateur d'images il y a quelques temps, mais les images étaient tellement affreuses que j'ai tout rejeté. Une recherche sur internet a produit de bien meilleur résultat.

Je ne sais pas comment les gens vont utiliser ces outils de façon concrète, mais je n'ai pas trouvé de façon de l'utiliser pour le moment.

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Par yansanmo@progysm.com

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Fermeture de mon compte github

2018-06-06 00:03:49

Suite à l'acquisition par Microsoft de github.com, je ferme mon compte yansanmo. Je n'avais qu'un projet git pour genlist2. J'ai suivi des tutoriels pour installer un dépôt git sur mon serveur web apache2.

github.com, Log In (email/password), Menu T > Your profile > click on repository > menu Settings > scroll to bottom, Click on Delete this repository, type repository name, click on "I understand the consequences, delete this repository
Your repository "yansanmo/genlist2" was successfully deleted.
Menu T > Settings > Sidebar Account > button "Delete your account" > enter username, enter "delete my account", click on "Cancel plan and delete this account"
Account successfully deleted.

Lire Installer git sur apache2

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Par yansanmo

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Nouvelles disparues sur Facebook

2018-05-08 10:10:08

Depuis hier soir, il n'y a plus de nouvelles des pages dans le News Field en mode "Top Stories". Je ne vois que mes partages et mes publications.

En mode "Most Recent", je vois une publication des pages et le bloc "Page Stories You May Like" qui présente des histoires que je n'aime pas 95% du temps.

Je n'ai pas ce comportement sur le site web Facebook avec mon cellulaire (mobile). Je n'ai pas l'application, donc non testé.

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Par yansanmo

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Quand on oublie des choses...

2014-12-15 14:41:43

Je trouvais que mon backup prenait du temps. Je vérifie mes fichiers et je remarque que la taille de ma base de données a augmenté "significativement". Elle est rendue à 471 M (format SQL).
Je regarde quelle est la table qui prend le plus d'espace: tblCheck
Je recherche quel script utilise cette table... Hum, difficile à trouver.
Je trouve enfin le script, c'est mon validateur HTML qui journalise toutes les pages validées.
Je vérifie mon journal de requêtes, il est rendu à 1Go (pas de rotation depuis août suite à une mise à jour d'un fichier de configuration).
En regardant de plus prêt, il y a des spammeurs qui utilise le script de validation pour aucune raison et utilise le USER_AGENT: MSIE 6.0. Aucun webmaster sérieux n'utilise IE6. Les spammeurs utilisent peut-être leur script pour augmenter le nombre de visiteurs de leur page web?. C'est des serveurs en chine, au états-unis, qui font les requêtes.
Je désactive la journalisation dans la base de données et je leur installe une redirection expresse pour ses requêtes. Maintenant, ils s'auto-téléchargent.

Exemple de USER_AGENT

"Mozilla/4.0 (compatible; MSIE 6.0; Windows NT 5.1; SV1; TencentTraveler ; Mozilla/4.0 (compatible; MSIE 6.0; Windows NT 5.1; SV1) ; .NET CLR 2.0.50727)"

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Par yansanmo

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Facebook ne veut rien savoir

2012-11-10 13:07:56

En réponse à l'article Facebook sait tout de vous! de Baptiste Ricard-Châtelain.

L'auteur parle d'une fonctionnalité qui existe depuis longtemps... J'avais récupéré mon archive zip et malheureusement, il n'y avait pas grand chose d'intéressant qui m'a frappé. Il n'y avait que mon contenu que j'ai publié "volontairement" sur Facebook. Et il connaît mon IP? Ça fait 4 ans que j'ai un IP statique, et les sites de cartographie et de géolocalisation (comme Google) s'amusent toujours à me placer à Montréal à 250 km d'ici parce que bien attendu l'IP appartient à vidéotron qui est à Montréal. Avec un IP dynamique, c'est même pas la peine d'en parler, ça peut changer à tout instant.

Ensuite et je cite le texte:

Facebook butine parfois, en outre, chez des «partenaires», des «clients publicitaires» ou «d'autres tiers». Les données ainsi amassées «nous permettent de diffuser des publicités plus pertinentes, de mieux comprendre la façon dont les gens utilisent Facebook et, de manière générale, d'améliorer les services que nous proposons», justifie l'entreprise.

Depuis que je suis sur Facebook, je ne me souviens pas d'une publicité qui m'a incité d'aller acheter ou d'avoir un service d'une entreprise. De plus, Facebook n'a pas ajouté une fonctionnalité simple dans leur interface comme la recherche dans nos propres archives ou la recherche de personnes qui aiment la même chose que nous. Je peux facilement rechercher dans les statuts publics de la planète ou de mes amis et moi publiés récemment, mais rien dans mes propres statuts d'il y a peine 2 ans. Je peux savoir qu'il y a 19,162 personnes qui aime "Marcher" mais je ne peux pas savoir qui aime Marcher dans ma ville.

Si on regarde le détail des publicités, c'est vraiment pas fameux et ce n'est pas bien ciblé. Sur ma page de profil, j'ai une publicité pour une carte de crédit (152,897 likes). Qu'est-ce qui suggère dans mon profil que je suis un bon candidat pour des cartes de crédit. Ça fait des années que je reçois des publicités par la poste et que je vois des publicités à la télévision et j'ai toujours ma carte VISA forfait étudiant que j'utilise seulement lorsqu'il n'y a pas d'autre option disponible. Et c'est en contradiction avec tous les analystes économiques qui disent que les ménages sont trop endettés. Mon problème, ce n'est pas le crédit, c'est trouver les produits que j'ai besoin.

Deuxième publicité: « Envie de rencontres à coté de chez vous ». Bien attendu, dans mon profil c'est écrit que je suis célibataire mais c'est aussi indiqué où je vis, à Mont-Laurier. Si Facebook était assez intelligent, il m'aurait dit combien il y a des personnes dans ma ville qui sont inscrites sur ce site de rencontre. Là ça aurait été vendeur. Mais non, c'est un site Web avec un nom "anglais" (loi 101 quelqu'un) et avec un siège social en Chypre. Pour le local, on repassera. Bien attendu, sur le site il utilise la géolocalisation et je suis situé à "Montréal". Quand on sait qu'il y a moins de 20 personnes de ma région sur un site Québécois, 0 sur un site canadien et 0 sur un site francophone et qu'aucun site ne propose de "rencontre", alors un site en Chypre...

Pendant ce temps, je recherche des évènements locaux intéressants (extrêmement difficile à trouver), des personnes qui aiment la même chose que moi (pas encore de filtre), la liste des articles chez des commerçants locaux (impossible à trouver), des cours particuliers pour certains sports ou activités, des nouvelles de ma famille (pas disponible pour le deux tiers de ma famille).

Si Facebook sait tout, alors ils sont incompétents.

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Par yansanmo

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Conférence de François Charron - boutique en ligne du 25 avril

2012-05-01 17:22:42

Je voulais écrire ce billet avant, mais j'ai été occupé avec d'autres dossiers (des sites Web pour faire changement).

Le 25 avril, j'ai assisté avec beaucoup d'entrepreneurs à la conférence de François Charron concernant les boutiques en lignes et le positionnement sur Internet des PME. La salle du CFP était presque pleine. J'ai assisté à cette rencontre avec scepticisme et prudence parce qu'il est facile de parler de miracle lorsqu'on veut vendre de la potion magique. J'ai vu en François Charron un bon communicateur, un expert d'Internet, un porte parole et un excellent vendeur. Tout comme un excellent vendeur, c'est les choses qu'il ne dit pas qui en dit long sur son discours.

La rencontre était organisée par la SADC pour un programme qui encourage les entreprises à se mettre en ligne. L'idée est excellente mais les moyens manquent souvent. M. Charron devait à la fois présenter cette vision du SADC et sa propre solution d'entrepreneur et on pouvait très difficilement séparer l'une de l'autre. Il ne faut pas oublier qu'il parcours le Québec en répétant la même cassette, qu'il a pu apprendre ce qu'il devait dire ou non à l'auditoire. J'ai déjà vu beaucoup de vendeurs, et c'est officiellement un bon vendeur.

Du côté technique, j'étais enfin avec quelqu'un qui connaît Internet et qui sait comment il fonctionne. Il n'y a pas grand monde dans la région à qui on peu parler référencement contrairement à Montréal. Je croyais m'entendre parler pour certaines opinions sur le référencement, le contenu HTML texte, la présence Web des entreprises. M. Charron nous a présenté sa recette pour être présent sur Google. J'utilise cette recette depuis les tous débuts pour mes sites Web (environ 1997), rien de nouveau, juste du gros bon sens. Le constat est très simple. Une des premières choses que les gens apprennent lorsqu'ils commencent à utiliser Internet, outre les courriels, est la recherche en ligne. Pour faire la recherche en ligne, on va sur un moteur de recherche (dans le temps Altavista ou Yahoo), maintenant Google ou Bing, on tape quelques mots clés et on cliquer sur "Recherche". Le réflexe de base est la recherche texte. Les gens ne comprennent même pas les noms de domaines .com et vont souvent rechercher les noms de domaine dans les moteurs de recherche. Si tout le monde recherche des mots-clés, on dirait que peu d'infographiste il y a 10 ans avaient compris cette évidence. Qu'est-ce qu'un moteur de recherche? C'est un ordinateur aveugle avec beaucoup de mémoire qui lit toutes les pages Web sur Internet. Il lit chaque page Web, classe les mots clés par priorité et utilise les liens externes pour donner de l'importance à votre site. Il utilise des mots-clés texte et les liens. Que faut-il sur votre site? Du texte et des mots-clés. Qu'est-ce qu'il faut sur les autres sites? Des liens vers votre site. Il n'y a pas cent façons d'avoir du bon référencement, ces deux concepts sont essentiels. Les anciens infographistes d'autrefois ajoutaient des mots-clés dans leur page à côté des grosses animation (flash) ou des images découpées. Les moteurs de recherche ont tués ce genre de site car les aveugles n'aiment pas le tape à l'oeil.

La présence Web des entreprises est importante mais pas primordiale. Si on ne vous trouve pas, on perd des ventes. Par contre, si vous avez une présence sur le Web mais que vous offrez un mauvais service ou que vos informations sont mauvaises, vous allez perdre des clients et on va en parler. Aujourd'hui, il est très difficile de ne pas être sur Internet sans le savoir. L'important c'est de vérifier qu'il n'y a pas de fausses informations. Il y a des centaines d'organisations qui se spécialisent pour vous afficher sur le Web: Canada 411, Vidéotron, Google Place, Facebook, FourSquare. Ils vont vous afficher sur leur site Web gratuitement à conditions qu'ils ajoutent de la publicité avec votre page Web. C'est à vous de vous plaindre si l'information n'est pas bonne.

Du côté vendeur, M. Charron est un très habile vendeur. Il a une entreprise et il veut vendre ses services. Son offre peut être attrayante si on est bien conseillé dans le processus. Mais ce n'est pas une solution à toute épreuve. Les outils de générations de site Web existent depuis très longtemps. Je pense par exemple au service offert par Multimania en 2000 qui proposait de faire son site Web avec des gabarits HTML et un outil en ligne pour créer des pages. Par contre, générer un site Web avec un outil nous limite toujours à l'outil et à la technologie. Votre entreprise doit rentrer dans le cadre. D'un côté, ça l'évite des pages ridicules créée avec Word ou Frontpage. De l'autre, ça fait des produits uniformes. L'outil à des limites et ne peut remplacer un bon programmeur avec un contrôle total sur un serveur. On ne peut pas toujours réinventer la roue mais parfois il faut utiliser ce qui est sur le marché. M. Charron veut bien vendre son produit, mais il a tout de même proposer de travailler avec des professionnels locaux. Payer vous un photographe si vous voulez des belles photos. Payer vous une infographiste pour un logo ou des bannières. Il est bien attendu à son avantage que les sites de ses clients paraissent bien, ça profite à l'image de son produit. C'est un conseil gagnant-gagnant, pour lui, pour vous et pour les professionnels.

L'avantage de son offre, c'est qu'il a créé un modèle où l'ensemble de ses clients se paient à peu de prix l'intégration de nouveaux produits et les correctifs. À chaque fois qu'un de ses clients demandent une modification au service, les changements sont offerts à tous les autres. C'est l'avantage du groupe. Avec un bassin assez grand, on réussit à amortir le coût du programmeur, des infographistes, des formateurs et on propose des nouveaux services régulièrement. Son offre utilise des outils gratuits sur Internet, mais c'est l'intégration intelligente qui fait toute la différence et c'est seulement avec le temps qu'on peut avoir une très bonne intégration qui se tient. Toutes les sociétés de logiciels grand public fonctionnent sur ce modèle, ce n'est pas nouveau.

Cependant, M. Charron a presque parler avec dégoût du monstre Facebook, qu'il nommait «Face de Bouc». Facebook est un rival aux autres sites sociaux comme Twitter, MySpace, Google Plus, aux moteurs de recherche d'entreprises comme Canada 411, aux services de courriel (hotmail, gmail) et aussi à son propre outil. En effet, Facebook propose un grand achalandage, un outil de recherche, un bottin d'entreprise, un outil de communication et une présence sur le Web. Il propose aux entreprises un outil de publications de nouvelles, un accès facile aux membres et un outil de publication de photos. Facebook joue donc dans les segments de marchés de beaucoup d'entreprises. Mais comme toute solution, il faut connaître ses limites. Les gros sites se font attaquer. Les bonnes idées se font copier. Tout site finit par mourir un jour. Un outil peut aider ou nuire à votre commerce (exemple: l'affaire Oasis). Encore une fois, les solutions miracles ça n'existe pas.

La deuxième partie de la conférence portait sur les boutiques en ligne. La solution votresite.ca intègre des outils de boutiques en lignes déjà disponibles. On ajoute les catégories, les produits, on ajoute les photos et les descriptions et hop, on fait des affaires sur Internet. Lorsqu'un client veut acheter un produit, on reçoit une notification par courriel et on a la tâche d'envoyer le produit par la poste. C'est principalement là le problème : la poste. Personnellement, j'ai toujours fuit les contrats avec du commerce en ligne car je trouve le tout risqué et source de beaucoup de soucis. On ne parle plus d'un mauvais numéro de téléphone, mais de l'argent de vos clients, du temps d'emballage et de mise à jour, des rabais, des taxes et de frais de manutention. C'est un dossier épineux qui peut très bien fonctionner mais qui demande beaucoup plus de travail que la mise à jour d'un site Web. Il y a eu des questions très intéressantes du public. «Quel est le prix minimum d'un article pouvant être mis sur une boutique en ligne.» Bien évidemment, si un produit est 3$ et que le coût d'envoi est 6$, le produit ne se vendra pas. M. Charron a dit la réponse tout à fait juste dans ce cas: «Ça dépend». Personne ne peut fixer un prix. C'est du cas par cas pour chaque type d'entreprise. Il faut donc juger du nombre d'heures qu'on est prêt à consacrer dans cette aventure. Cepndant, le plus beau avantage d'une boutique en ligne à mon avis n'est pas la vente par la poste, mais la possibilité pour les clients de voir les produits. On peut les trouver dans les moteurs de recherche et on peut les voir. Juste l'affichage vaut le coût d'essayer d'avoir une boutique en ligne même si on doit acheter en magasin.

Les Hautes-Laurentides. Je trouve que le conférencier connaissait très peu la situation locale. Il y a encore beaucoup de gens qui n'ont pas Internet Haute-Vitesse à la maison. Certains n'ont même pas Internet. Je n'ai pas encore vu personne se promener avec sa tablette sur les "terrasses" de Mont-Laurier. De plus, ça fait 4 ans que je travaille à faire une présence sur Internet à toutes les entreprises de la région. Je n'offre pas un site Web complet, mais c'est une présentation des renseignements de base, des évènements, des offres d'emploi qu'aucun autre répertoire ne peut mettre à jour aussi rapidement pour la région. Si une nouvelle entreprise à Mont-Laurier n'a pas de site Web, c'est presque garantie de la trouver sur mon bottin via Google. Mais bon, ce n'est peut-être que de l'amour propre. Même moi, j'ai de la difficulté à trouver certaines entreprises de la région lorsque je contre-vérifie mes informations. J'aurais aussi aimé qu'il parle des bons coups et des mauvais coups locaux. Mais rien du côté local.

Finalement, ce fut une très bonne conférence sur Internet. Ça me fait regretter les conférences organisées par PHPQuébec, W3Québec et Facil à Montréal. Une belle lueur d'espoir si les gens peuvent être plus présent sur Internet. L'important c'est l'unicité et la pertinence du contenu. Toute action dans ce sens est la bienvenue. Par contre, publier du contenu unique c'est difficile, et peut-être que je vais en parler dans un autre billet.

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Par yansanmo

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Citer vos sources!

2011-03-30 11:48:00

Tout d'abord, il ne faut pas généraliser avec un exemple, mais ça permet de réfléchir sur la situation. J'ai lu ce matin sur slashdot l'histoire d'un blogueur qui a été très mécontent d'apprendre qu'un journal avait utilisé un de ses articles, ou à peu près toutes les informations d'un de ses billets. Il dit même qu'il voit une trace du journal dans ses "logs" de serveurs Web Apache (access.log). Le journal semble avoir justifié le tir en enlevant l'article au lieu de donner ses sources. Pourquoi, c'est trop difficile de faire de la publicité pour un simple blogueur? Mais bon, avec toutes choses sur Internet, il se peut que l'histoire soit fausse, je peux quand même pas aller rencontrer Ian Denis Miller pour lui demander si c'est vrai.

Un autre exemple de ce problème qui me vient en tête est celui de la radio. L'animateur/animatrice et les recherchistes font souvent des trouvailles de je ne sais plus où et le dise sur les ondes sans citer leur source. Cependant, si l'information vient du Web, on peut facilement retracer la source utilisée. On peut même trouver, si on a de la chance, le site qui annonce tous leurs "faits divers". Ça peut être dans les chroniques ou encore les informations régionales.

Je me souviens aussi qu'il y a eu une période que branchez-vous ne citait jamais ces sources. On pouvait croire qu'il avait une connexion directe avec tous les fils de presse. Après avoir découvert slashdot, je me suis rendu compte que le contenu des articles en anglais de slashdot se retrouvait comme "traduit" sur branchez-vous un peu plus tard. Oh déception... Je ne crois pas que les articles de slashdot était directement "traduit" sur branchez-vous, mais c'était un bon indicateur pour connaître les sources véritables. Mais bon, ce n'est plus toujours le cas, je crois que certains chroniqueurs ont compris le message. Par contre, cet article d'aujourd'hui semble être sorti de nul part. On voit bien attendu "une source citée par Bloomberg", mais on ne précise pas ce qu'est Bloomberg. Ah, je viens de le trouver sur bloomberg.com.

J'ai eu le même problème avec un professeur une fois à l'université. Il nous racontait des histoires non reliées au sujet d'étude dans un cours et on se demandait comment ça se faisait qu'il en connaissait autant. Ça ne semblait pas venir de sa propre expérience de travail. Un peu plus tard dans l'année, on s'est rendu compte qu'il nous racontait les articles d'un journal scientifique et bien attendu, il n'a jamais dit que ça venait d'un journal. Avec cette découverte, on pouvait lire les articles en profondeur, sans l'effet du téléphone arabe et bien attendu, les "histoires" du professeur n'étaient plus si "nouvelles".

Le plus gros problème pour citer ses sources, c'est la mémoire et la quantité d'information. On peut absorber une telle quantité d'information dans une journée qu'on peut oublier où on a trouver notre inspiration... Est-ce que ça vient de la télévision, de la radio, d'un collègue, d'un livre, d'un cours au cégep, d'un site trouvé par hasard? Finalement, je crois que j'ai déjà parlé de ça dans un autre billet... Ah sacrée mémoire!

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Par yansanmo

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